J’avais fini mon voyage … Et pourtant en partant à cheval … j’en recommence un … comme s’il n’y avait jamais de fin … comme si je faisais toujours en sorte que les fins ne soient que d’eternels recommencements … Rien ni personne ne me manque … Seul a connexion à la nature est indispensable à ma vie. Que de chemin parcouru … lors de mes précédents voyages je ne parlais que de souffrance … d’absence … de jalousie et de relations difficiles. Du premier jour je comptais les jours qui me séparait de mon retour.